31 octobre 2004
Horlante du week-end
Intemporelle, incandescente
Telle la flamme d'un flambeau
Qui vous berce et fantômes rend beaux
Je l'ai toujours sentie présente
La nuit au dessus de mon lit
Son haleine chaude et odorante
Ou dans la rue les nuits piquantes
Marchant dans mes pas sans un bruit
Des fois je la défiais en douce
Priant jusqu'à la déraison
Et repensant à mes saisons
Dans mes rêves en suçant mon pouce
Mais c'est bien se voiler la face
Que d'ignorer qu'au bout du compte
Elle viendra me chercher sans honte
La mort que je hais, ce sarcasme!
Telle la flamme d'un flambeau
Qui vous berce et fantômes rend beaux
Je l'ai toujours sentie présente
La nuit au dessus de mon lit
Son haleine chaude et odorante
Ou dans la rue les nuits piquantes
Marchant dans mes pas sans un bruit
Des fois je la défiais en douce
Priant jusqu'à la déraison
Et repensant à mes saisons
Dans mes rêves en suçant mon pouce
Mais c'est bien se voiler la face
Que d'ignorer qu'au bout du compte
Elle viendra me chercher sans honte
La mort que je hais, ce sarcasme!
Publicité
Commentaires
A
A
E